Organisation d'une fiche de métadonnées⚓
Les fiches de métadonnées de Plume sont générées dynamiquement en fonction notamment du modèle et de la langue sélectionnés, ainsi que des métadonnées disponibles. En particulier, une fiche de métadonnées ouverte en mode lecture ne montre jamais de champ vide.
Les informations sont réparties dans différents onglets. Leurs noms et leur contenu varient selon le modèle, hormis pour l'onglet Champs
, qui contient toujours la liste des champs de la table avec leurs descriptifs.
Onglet des champs⚓
Les champs sont présentés les uns en dessous des autres, dans l'ordre de la table. Leurs noms sont mis en valeur par un fond coloré, dont la couleur est modifiable au gré de l'utilisateur. Juste en dessous, sans fond, apparaît la description du champ.
Remarque :
Les descriptions des champs ne sont pas encodées en JSON-LD dans le descriptif PostgreSQL de la table/vue avec le reste des métadonnées. Il s'agit simplement du descriptif PostgreSQL du champ, repris tel quel.
Identification des métadonnées⚓
Dans les autres onglets, les métadonnées les plus simples sont présentées sous la forme d'un libellé associé à une valeur. Les libellés sont repérables à leur fond coloré, dont l'utilisateur peut changer la couleur s'il le souhaite. Passer le curseur sur un libellé fait apparaître un texte qui explique à quoi correspond la métadonnée.

Les libellés et textes d'aide peuvent être adaptés selon le modèle. Par exemple, les modèles pré-configurés de Plume nomment Description le champ qui contient la description du jeu de données, mais l'administrateur pourrait faire le choix de l'appeler Résumé, comme le font certains catalogues de données.
Regroupements⚓
Groupe de valeurs⚓
Lorsqu'une métadonnée a plusieurs valeurs, celles-ci sont regroupées par un cadre. Il est bleu par défaut, mais sa couleur et le style de trait de ces « groupes de valeurs » peuvent être modifiés. Le libellé de la métadonnée est écrit en gras en haut à gauche du cadre, et le texte d'aide apparaît notamment en positionnant le curseur sur le libellé.

Groupe de propriétés⚓
Certaines métadonnées ne prennent pas pour valeur un texte, une date ou un nombre, mais un objet qui est lui-même décrit par des métadonnées. Dans ce cas, les propriétés relatives à un même objet sont regroupées par un cadre. Ces « groupes de propriétés » sont bruns par défaut, leur couleur et leur style de trait sont également modifiables.

Imbrication de groupes⚓
Un groupe de propriétés peut en inclure un autre. Il est également possible d'imbriquer un groupe de valeurs dans un groupe de propriétés et inversement.
Exemple :
Dans le cas ci-après, la couverture temporelle du jeu de données est composées de trois périodes, correspondant aux mois de novembre à février sur trois années successives. La couverture temporelle est un groupe de valeurs, chaque période est un groupe de propriétés avec une propriété pour la date de début et une autre pour la date de fin.

Bouton de visualisation des géométries⚓
En mode lecture, seul un type de bouton d'action peut apparaître à l'intérieur d'une fiche de métadonnées : les boutons de visualisation des géométries. Ils sont présents pour tous les champs de métadonnées dont les valeurs sont des géométries.

Ces boutons permettent de visualiser les points, linéaires ou polygones saisis dans le champ, et présentent deux formes :
Lorsqu'il a l'apparence d'un œil ouvert
, cliquer sur le bouton trace la géométrie dans le canevas de la carte.
Lorsqu'il a l'apparence d'un œil fermé
, cliquer sur le bouton fait disparaître le tracé du canevas de la carte.
Par défaut, les géométries sont tracées en bruns avec un trait épais. Il est possible de personnaliser leur apparence.

Si cliquer sur le bouton n'a pas d'effet, il est probable que la géométrie renseignée soit invalide. Si Plume a été configuré pour ne pas zoomer automatiquement sur la géométrie, il est également possible que le tracé soit hors cadre. Le zoom est actif par défaut.
Hyperliens⚓
Les valeurs de certaines métadonnées prennent la forme d'hyperliens, écrits en bleu et soulignés, selon le formalisme usuel. Trois cas sont possibles :
La métadonnée prend pour valeur des URL. Dans ce cas, l'URL brut est affiché. Cliquer sur le lien ouvre la page dans le navigateur par défaut de l'utilisateur.
La métadonnée prend pour valeur des adresses mail. Cliquer sur le lien ouvre alors l'application de messagerie par défaut de l'utilisateur.
La métadonnée prend pour valeur des termes d'un vocabulaire contrôlé. C'est alors le terme de vocabulaire qui est affiché, il faut arrêter le curseur sur la valeur pour afficher une infobulle qui contient l'URL cible de l'hyperlien. Ces URL pointent sur des pages qui contiennent des informations sur la valeur, souvent le registre technique qui la définit.